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Film de Carlos Ferrand

🍿 A L’AFFICHE DÈS LE 24 JUILLET – À MONTRÉAL
▶ Cinéma Moderne – en version française ou anglaise
▶ Cinéma du Musée – en version française
 
🍿 EN LIGNE DÈS LE 31 JUILLET – PARTOUT AU CANADA
en version française ou anglaise
🎥 ÉVÉNEMENT SPÉCIAL
Une ciné-rencontre aura lieu le vendredi 24 juillet au Cinéma du Musée pour une discussion avec le cinéaste après la projection.

Le Devoir • «Jongué, carnet nomade»: il s’appelait Serge

Plusieurs cinéastes auraient pu aborder habilement la vie et l’œuvre du photographe Serge Emmanuel Jongué, mais ce n’est pas étonnant que Carlos Ferrand se soit intéressé au parcours, aux écrits, et surtout aux images de celui qui se définissait à la fois comme un immigrant et un métis, revendiquant son attachement à plus d’un territoire : la France, l’Amérique du Nord et les Antilles.

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Site F3M80 min, documentaire, Canada, 2019

RéalisationCarlos Ferrand
ProductionLes Films de l’Autre
LangueFrançais

Description courteLa vie du photographe-écrivain Serge Emmanuel Jongué, racontée à l’aide de ses propres talismans, images et textes.

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Cinéma du Musée

Serge Emmanuel Jongué était un écrivain photographe hanté par les questions d’identité et de mémoire des peuples colonisés. D’origine guyanaise et polonaise, passionné de bande dessinée, de journalisme et de littérature, Jongué a bâti une œuvre originale et percutante dans laquelle textes poétiques et politiques entrent en discussion avec des images dont le travail textural remarquable fait ressortir les zones d’ombre. Installé à Montréal dès les années 1970 et très engagé auprès des Premières Nations, Jongué était à l’avant-garde de questionnements actuels. Entièrement composé de textes et d’images de l’artiste, le nouveau film de Carlos Ferrand immortalise de façon créative la vie d’un artiste engagé, trop vite disparu, et précurseur de nombreuses voix qui s’élèvent de nos jours.

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Le Devoir • Les RIDM sur la sinueuse route Jongué

«Je suis constamment à la recherche de ce qui est impur, avance le cinéaste Carlos Ferrand. Le contraire du classique, du dépouillé. J’aime les trucs trop… Trop, j’aime le trop. J’aime le baroque, l’excès, l’opacité, une bonne dose d’incohérence. Le coq-à-l’âne me fascine.»

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